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A travers des récits incarnés, du journalisme d’immersion et beaucoup de photographie, Gaze est entièrement pensée et faite par des femmes et personnes non-binaires et met en valeur leur talent et leur vision.

Gaze, c’est deux fois par an une belle édition précieuse, sans publicité. Loin de l’info qui se picore puis s'oublie, nous croyons dans les objets papier qu’on chérit, qu’on collectionne, et qui seront toujours pertinents quand on les ressortira de notre bibliothèque deux ans après leur parution. C’est pourquoi chaque sommaire de Gaze se construit en dehors de l’actualité.

Nos imaginaires ont si longtemps été forgés par la perspective masculine qu’ils ont un besoin brûlant d’alternatives ! C’est avec cette ambition que Gaze, la revue des regards féminins, est née en 2020.

Notre mission est de raconter le monde à travers la multiplicité des regards féminins, pour proposer une alternative au regard dominant et à la standardisation de l’information.

Dans les pages de Gaze se côtoient les personnalités et les inconnues, les jeunes et les moins jeunes, les grandes signatures et les débutantes, toutes sur le même plan. Gaze n’est pas un journal du débat féministe mais une porte d’entrée sensible et inspirante dans un féminisme inclusif et intersectionnel.

Les questions qu'on nous pose fréquemment
  • Journaliste et autrice spécialiste des questions féministes, elle est passée par la rédaction de Causette avant d’être rédactrice en chef digital de Marie Claire, chroniqueuse sur France Inter, puis de fonder Gaze en 2020. Clarence a publié deux livres sur la question féministe (ici et ). Enseignante en école de journalisme, elle est responsable du master Presse Magazine de l’IEJ Paris.

  • Laura Lafon-Cadilhac est photographe, iconographe et éditrice. Les histoires qu'on lui confie et celles qu'elle se raconte sont le point de départ de son travail photographique. Elle est aussi à l'initiative de Lusted Men, une collection de photographies érotiques d’hommes ouverte à toutes et tous les photographes. Elle aime les images, en faire, en collecter, en produire...et voit la photo comme un jeu doté d’un énorme pouvoir : représenter de nouvelles visions du monde.

  • Juliette a débuté sa carrière en agence, où elle s’est spécialisée dans l’identité de marque. Elle est en charge de l’identité visuelle de Gaze et de sa maquette, qu’elle a voulues exigeantes, généreuses et débarrassées des stéréotypes qui collent au féminin. Elle a à cœur de donner une voix et un espace aux points de vue des contributrices.

  • Stella fait ses armes au sein d’institutions culturelles en tant assistante d’exposition, puis s’est formée au journalisme à la rédaction d’Étapes. Elle se passionne pour les passerelles qui lient les cultures visuelles aux problématiques sociales, notamment féministes. Et aime, selon sa propre expression, ”rendre à Cléopâtre ce qui appartient à Cléopâtre”. Elle s’occupe du studio de conseil et de création, Gaze Studio.

  • Mélissa est une journaliste franco-libanaise. Passionnée de mode, de culture et de conversations philosophiques de fins de soirées, elle a fait de sa quête permanente d’histoires à raconter son métier. Elle s’intéresse particulièrement aux questions féministes intersectionnelles chères à Gaze et à la déconstruction des clichés sur la banlieue.

  • Après avoir pratiqué le marketing dans de grandes entreprises, Adjoa a décidé de mettre son savoir-faire au profit de ses valeurs : elle a co-fondé une agence, Mandhary, qui accompagne les marques de mode vers l’éco-responsabilité. Sa mission dans la team Gaze : faire rayonner la revue et lui permettre d’atteindre plus de lecteur·ices — autrement dit, inonder le monde de regards féminins ! Adjoa est aussi spécialiste de l’inclusion-diversité.

  • Mandy est la fée qui permet au magazine de tourner, aux contributrices d’être rémunérées et à l’équipe de travailler dans les meilleures conditions. Forte de 10 ans d’assistance administrative et comptable, elle gère toutes la dimension administrative de Gaze.